• On m'a dit un jours je ne sait plus qui: LA pitier c'est pour les faibles. Dommage que aujourd'hui je ne soit plus faible.


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  • On dit souvent qu'ils sont le reflet de l'âme
    Les miens sont noir et meurtrier
    Je ne veut pas que l'on me blâme.
    Si je rêve de vous tuer.

    Les frissons me prennent,
    Rien que de me souvenir
    De ces plaîts qui saigne,
    Et qui font ma joie de vivre.

     

     


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  • J'étais lasse de vous voir,
    Je ne supportais plus de vous entendre le soir,
    Quand vous croyez que je dormais
    Or depuis le début je vous entendait.

     Nulle mot ou insulte n'a disparue dans la nuit
    Chaque soir j'écrivais c'est mots dit
    lorsque tu lui a dit que c'etais un tueur
    Qu'il n'avait pu empêcher le suicide de sa soeur


    Et toi qui lui disait qu'elle étais une pute
    Qu'elle ne pouvait rien lui donner avec le dessous de sa jupe.
    Elle te disait que tu ne l'avais jamais fait jouir
    Tu ne lui avait jamais fait prendre de plaisir.

    Entendre cela de la bouche de ses parents;
    Alors que tu as 7-11ans
    Se retrouver, étirer, écarteler, déchirer par deux coter
    En vouloir que vous vous separiez.

    Mes soeur mon dit que j'étais une garce
    Que je ne savait de rien a la situation d'en fasse.
    Mais ce qu'elles ne savaient pas,
    C'est que je ne dormais pas.

    Longtemps j'ai contenue cette rancoeur,
    Enfouie au plus profond de mon coeur.
    Lorsque vous vous êtes séparer;
    C'est de soulagement que cette unique larme a couler.


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  • Il fait noir, je ne voie rien, Je n'entend rien.

    Je ne sait pas où je suis. J'ai eut beau chercher une issue, la pièce ou je suis enfermée a des piques tout le long.

    Je ne me souvient pas comment je suis arrivée là.

    J'étais dans le parc avec Lui. Nous étions bien seuls. Il devait être a peu prés 23heures lorsque ca c'est passé.
    Nous avions entendu du bruit dans les buissons, Il est allé voir et a rapidement disparu dans le noir. Je suis resté seule je ne sait combien de temps avant d'entendre un cri de douleur. Je me retrouvait pétrifier, j'avais peur. Je me demandais si je devait allé voir ce qu'il s'étais passé ou si je devait allée chercher de l'aide.
    Mes questions n'eurent pas de réponses, quelques seconde après Son cri une brûlure me pris a la tête et je sombrait dans le noir.

    Je me réveillait donc là apeurée et nue.
    Je refit le tour de la pièce, pour trouver une quelconque issue qui m'aurait échappée la première fois.
    Au bout de quelque pas je me cogne contre des objet piquant. Je me recule rapidement, la même chose de l'autre coter, sur tout les cotes.

    Sur le dernier mur je tente en fofillant mes main a travers ces pieux d'argent de trouver un poignée, rien.
    Je réitère le même geste sur les autres mur toujours aucune poignée. La seule chose que j'ai senti a travers les piques étais deux cercle de métal froid qui pendait au mur.

    Un bruit, il se trouve derrière moi. J'entend le bruit du métal qui rentre dans un fourreau, ca vient du mur avec les anneaux.
    On tourne une clé dans une serrure et on ouvre une porte.

    "Alors elle s'est réveillé la belle au boit dormant?... Je voie que oui... Ne t'inquiète pas je vais bien prendre soin de toi..."J'ai de plus en plus peur sa voix ne ma rien de très rassurante je me colle au mur mais les piques me rentre dans la peau, je gémit de douleur.

    J'entend le bruit des piques qui rentre dans le mur d'en face. Il referme la porte. Je veux lui hurler de me laisser mais aucun son ne sort de ma bouche.

    Tout a coup une douleur et un claquement a mon épaule, ma peau me brûle. Puis une autre et encore une, je me protège en vain je suis nue et chaque coup trouve ma peau.

    "Tu aurais dû te voir avec tes bottes qui te montais au genoux, ta mini jupe qui moulait ton postérieur a ravir, j'ai hâte d'y goûter d'ailleurs... "Je frémit de dégoût, une main m'agrippe et me pousse de l'autre coter de la pièce. Je vais me prendre ces pieu d'argent et me prépare a la douleur lorsque soudain je rencontre un mur froid et dur.
    Je n'ai pas le temps de me demander comment les pieux ne sont plus la que je me sens attraper brutalement. Il me prend une de mes mains et y attache une corde de cuir, je me débat, je veux qu'il me lâche c'est alors qu'il me met une gifle qui me laisse étourdie tellement elle est puissante. Le temps que je retrouve mes moyens je me retrouve attaché les deux bras écartée aux anneaux.
    Je sent qu'ils peuvent bouger j'essaye de me décalée pour chercher une solution et retarder l'inévitable quand je ressent ces dar froid sur mon épaule, tout de suite je m'y écarte et sent le sang coulé le long de mon bras.

    Au loin un rire sombre et profond. Je ne tien plus et mes nerfs craque je pleur et crie."Que voulez vous de moi? Je vous ai rien fait laissez moi! Je vous en prie! Laissez moi!"Son rire double de force. Puis un froissement de vêtements que l'on enlève. Des pas une peau contre la mienne, je veux me dégager mais il me retient et les liens auquel je suis attachée me sert encore plus les poignets.

    "Je vais seulement m'amuser un peu, ma fée du plaisir..."Il me lèche la joue et m'embrasse de force.

     

    Je sens son membre inférieur se gonfler au fur et a mesure que je me débat, il se retire rapidement de ma bouche.

    .

    "Tu te souviens tout a l'heure je t'ai parler de ta jupe et de tes fesse si sexy"J'acquisse de la tête je ne peut oublier cette phrase

    "Et bien sache que je compte y goûter maintenant."La terreur s'empare de moi et je ferme les yeux me préparant au supplice

    <ta mini jupe qui moulait ton postérieur a ravir, j'ai hâte d'y goûter d'ailleurs>.

    "Alors ca ta plus?"Je crache au niveau de ce qui devrait être son visage. Encor ce rire.

    "Tu est très mauvaise viseuse mais tu te rattrape au niveau du désir que tu suscite."

    Une douleur au niveau de mon bas ventre je crie quelque chose est rentré en moi et bouche, je devine que ce sont des doigts.

    "Tien, Tien... Aurais tu mal, salope?"Il les retire, je n'ose soupirée de soulagement, je craint ce qui va suivre et avec raison.
    Il me soulève les jambes pour me plaquer contre le mur et m'enfonce un dard cette fois ci pas de fer mais de chair.
    Je hurle, je ne sais si c'est pour qu'il me lâche ou a cause de la douleur qui m'assaille.
    Il fait des va et vient brutaux qui me brûle l'entre jambe.

    "Salaud lâchez-moi! Arrêtez je vous en pris!"

    Les larmes coulent plus abondamment que toutes les autres fois ou je les aie versées.
    Il se remet a rire et me dit qu'il est sur que ca me plaît et qu'il faut que j'arrête d'hurler sinon je risque de le payer chère.
    Suite à ses quelques mots il se retire de moi et je peut sentir le sent couler le long de mes jambes.
    Tout a cout une nouvelle douleur, je suis retournée violement et les liens tirent sur mes bras et me brûle la peau.
    Et un chuchotement a mon oreille

    Mais tu n'as pas encore compris que la seule chose que je vœu est comme l'appelle les poète, ta fleur d'amour. Mais peut être que tu préfère que je te le dise plus crûment je veux te dépuceler ma chérie, t'enlever tout virginité de tout tes orific"

     

    De longues secondes s'écoulent durant lesquelles je n'entend que ca respiration rendu rauque et rapide par l'excitation. Les larmes ne cessent de coulées le long de mes joues. Je lui murmure des supplications que je lui donnerait tout si il me laissait partir.

     

    «Maintenant trêve de bavardage passons au chose sérieuses. Agenouille toi et pose tes main au bort de mur, je veux voir ton beau postérieur dirigé vers moi. » 

     

    A contre cœur je fait ce qu'il dit, de toute manière je n'ai pas le choix quoique je fasse, que je crie, que je me débatte, avec ces liens qui me font prisonnière je n'ai nulle autre solution que d'obéir et de subir.

    Je ne voulait pas perdre ma virginité comme cela, je comptait LUI donner ce soir pour nos 1an. J'avais tout prévus, il le voulait tellement et j'aurai tout fait pour LUI, maintenant je ne sais si je pourrais le refaire un jour.

     

    Une douleur lacérant ma peau me sort de mes pensées, une seconde s'en suit. Je ne sait combien de fois il me frappa avec cette cravache. Ma peau me brûle, je vit un cauchemar éveillé. Je sent toute ma fierté disparaître lorsqu'il me prend comme un chienne et je ne peut retenir ce cri de désespoir j'jaillir de ma bouche.

     

    « Je savais que tu aimais ca et je vais te fair plaisir en continuant encore et encore. »

     

    Et il fait ce qu'il me dit pendant encore de longues minutes je doit être l'objet de son plaisir et enfin la délivrance de mon enfer arrive a porter de main, il s'épanche en moi dans un râle de plaisir.

    Je le sent se retirer de moi et détacher les liens qui me retiennent. Je suis affaiblie et je retombe au sol sans que je ne puisse me retenir, mon sang coule le long de mes jambes je me sent souiller et sale.

    Il rouvre la porte et se penche sur moi. Je sens le bandeau remonter le long de mon visage. Je vais connaître le sien, celui qui m'a tout pris.

    Ma vue met quelques temps a s'habituer au peu de lumière déversée par la lune. Finalement je revois correctement et je le vois.


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  • Tu es là

    Devant moi

    Je sens tes main

    Glisser sur mes sein

    Tu enleve mon Haut

    Tout en caressant ma peau

    Je me sent frissonner

    Cela me plait

    Je n'ose vous regarder

    CAr la vous veriez

    Tout cette amour

    Que je n'ai pas en retour

    Je ne suis que votre objet

    Et parfois ca me deplait.


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