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A travers le grillage,
Au-delà de ces barreaux en acier trempés
Voilant le paysage,
Mon esprit s'efforce, essaie, de s'échapper.
Halo de lumière
Atteignant, avec peine, faiblement mes yeux
A travers les œillères
J'imagine des extra muros merveilleux.
Les rêveries croupissent
Dans les neuf mètre carrés des murs carcéraux
Cauchemar de justice
Comment ici écrire des romanceros ?
Sur le lit en ferraille
Parfois mon esprit, va vers la mer de Cuba,
Sur la grande muraille,
Dans les rues abreuvés de soleil de Rabat.
Chaque jour à sept heures
Eternel rituel du réveil matinal
Et les chimères meurent
Au rythme des bruits des bottes et de métal.
Aujourd'hui jour de pluie
Le soleil est gris, dans la cellule il fait froid.
J'ai trouvé la sortie
Je me suis glissé en dehors de ce coin étroit.
Je tiens a preciser que ce texte n'est pas de moi, cliquer dessus et vous irez directement sur un blogg avec de magnifique textes dont certain m'ont bien fait rire
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Une tempête fais rage dehors,
Je vais vers le repos des mort.
Écoutant la pluie tomber
Et entendant le vent hurler.Que cette sensation est douce
Sensation de liberté
Sous cette lune rousse.
Perçant ce ciel nuagé.
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Pourquoi s'arrêter à un mot, un geste.
Ne pas aller au plus profond, rester sur son reste.
Quand on ne connais pas,
On ne juge pas.
Quand les humains comprendrons cette chose.
Si simple et pourtant qui apporte énormément de chose?
Les apparence sont parfois trompe l'oeil.
Changeons avant de devoir toujours déposé des glaïeul.
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