• Je ne veux plus souffrir
    Je veux vous voir mourir
    Je ne peux plus supporter
    Je ne peux plus hurler
    J'aimerais tans vous voir
    Disparaître dans le noir
    Qu cette lame
    Transperce votre âme.
    Envie d'être au cimetière,
    Recouverte de terre
    Mais je n'ai pas le courage
    De faire ce voyage
    Et pourtant si vous saviez
    A quel point je l'ai rêvé
    J'aimerais vous tuer
    Vous voir vous en allez
    L'un ai déjà parti
    Mais continu à s'immiscez dans ma vie
    Les autres essayent de forcer
    Cette porte que j'ai bouclé
    Retrouver cette enfance
    Revoir cette innocence
    Ne plus vivre dans le passé
    Qui m'a fait tans crier

    I can't love you
    I can't feel you
    I can't touch you

    I don't want to live
    I want to died<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • Une tempête fais rage dehors,
    Je vais vers le repos des mort.
    Écoutant la pluie tomber
    Et entendant le vent hurler.

    Que cette sensation est douce
    Sensation de liberté
    Sous cette lune rousse.
    Perçant ce ciel nuagé.


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  • Pourquoi s'arrêter à un mot, un geste.
    Ne pas aller au plus profond, rester sur son reste.
    Quand on ne connais pas,
    On ne juge pas.

    Quand les humains comprendrons cette chose.
    Si simple et pourtant qui apporte énormément de chose?

    Les apparence sont parfois trompe l'oeil.
    Changeons avant de devoir toujours déposé des glaïeul.


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  • Tout autour de moi, un silence, quasiment parfait, seul le bruit des vagues et les craquements du feu le troublent la clarté de cette nuit, cela ne fait que renforcer la magie du moment.
    Il est tard, sûrement plus de minuit, le soleil s'est couché il y a déjà plusieurs heures. Et je reste là, assise, seule, sur cette plage déserte à regarder l'immensité de l'océan. Levant la tête j'aperçois au dessus de moi ces perles blanches et scintillantes de milles feu, sur une toile de noir d'encre, en cette nuit elle brille comme jamais au paravent, leur scintillement se reflète sur cette mer légèrement soulevée par la douce brise de la nuit. Au loin j'aperçois la lueur d'un phare, sûrement celui du Keromen.  Soudain, une pensé se glisse en moi, je comprend et prend conscience de ce que j'ai toujours su; nous ne sommes rien, nous nous prétendons les maîtres de ce monde alors que nous ne contrôlons rien.
    Que sommes nous faces à ce paysage qui s'offre a mes yeux? Que sommes nous face à la violence dont peu être capable la nature ?
    Nous prenons possessions de la mer, que ce soit en surface ou en dessous, nous nous prétendons invincibles dans nos bateaux et nos boites de conserves marine, alors que d'un geste, d'un mouvement, elle peut tous nous briser, elle fais ce qu'elle veut, prend qui elle veut.
    Je me sens alors petite, faible et insignifiante. Je me rends compte que je ne suis rien. Que nous ne sommes rien.
    Ma pensée continue de vagabonder. Oui! Nous ne sommes rien, simples créatures de chaire et de sang qui prétendent contrôler un monde dont elles ne connaissent que la surface. Allant jusqu'à le détruire progressivement, le tuer à petit feu. Nous cherchons toujours à être les plus forts, nous faisant guerre sur guerre. Nous massacrant pas milliers, par millions. Tuant nos semblable, nos frère, nos père.
    Soudain une pensée, il y a-t-il déjà eu en ce monde, depuis que l'homme sait frapper du poing, un siècle, une décennie, une année de paix? Pas de ma connaissance. Il est vrai que je suis jeune, je ne connais qu'une partie de l'Histoire, mais, dans celle-ci, j'aperçois la réponse: Non!
    Voulant toujours être les plus forts, des hommes créèrent des inventions, plus destructrice les unes que les autres. La dernière en date: la bombe atomique, celle qui a faillit tous nous détruire, il n'y a pas si longtemps, et celle qui nous détruira dans pas longtemps. Et pourquoi a-t-elle été créée? Simplement car les hommes ne comprennent pas les différences de religion, des hommes et des femmes de cultures et de tendance sexuels différentes.  Car des hommes ont en décidé ainsi. Nous gens du peuple n'avons rien demandé et pourtant c'est nous qui avons souffert de celle-ci. Eux si bien au chaud dans leur bureaux, entouré de tout ce qu'ils leur faut, habit, nourriture et même une famille et des amis pour les soutenir pendant que nous nous crevions de faim, de froid, et que la plupart de notre famille était soit morte, soit pire, était disparu et nous ne sachions pas ce qu'il en était advenue.
    Ma gène s'accentue: en seront-ils les derniers? Non, d'autres suivront leurs idées, mais, n'ont pour le moment, pas le moyen de les appliquer. Certains sont proches, très proches du pouvoir. Certain ce montre d'un angle mais cache la partie la plus sombre et la plus dense de l'iceberg. Ces personnes ont tellement d'idée derrière la tête que l'on se demande : Et quand ils seront au pouvoir, que deviendrons nous ?


    Changement de cap, mon esprit vire de bord et revient à la nature. Nous ne pouvons la contrôler, qui peut arrêter une tornade, un ouragan ou un ras de marée, à part ces super héros que l'on voit dans des bandes dessinées mais ils ne sont que pur fiction. On peut, peut-être, prévoir ces évènements, mais, là encore, seuls les hommes ayant le pouvoir et l'argent peuvent protéger le peuple. Si, ils sont faibles, alors on les laisse crever et une fois le drame passé, on vient jouer le sauveur des pauvres gens.
    Une autres réflexion se glisse à mon esprit en regardant les diamant du ciel: sommes nous seuls? Nous faisons les fiers avec nos « petites bombes », alors que peut-être là haut, des gens ou des créatures ont beaucoup plus de moyens de destruction que nous.
    La peur s'insinue en moi et aussi la colère.
    Nous détruisons ce mode pour quoi? Pour rien... Des hommes un jour, ont prétendu qu'un ou des êtres supérieurs les avaient envoyés pour nous montrer leur puissance et nous forcer à les aduler. Résultat, combien de guerre on eu lieu en leur nom et continue toujours? Combien de mort?
    Je frappe le sable du point rageusement, puis un sourire triste se dessine sur mon visage. Jamais nous n'avons eu la preuve de leur puissance et de leur existence même... Car je me dis que s'ils existaient vraiment, ils ne laisseraient pas autant de misères s'accomplirent, ils ne laisseraient pas des gosses s'engager dans une guerre avec des pierres ou rejoignant une armée illicite, ils ne laisseraient pas ces même gosses crever sous les bombes, ils ne laisseraient pas les croyant en eux mourir ainsi. Leurs puissances, on ne l'a jamais vu...
    Alors que la sienne si!
    Combien de marins a-t-elle tuée et enlevée à leur famille?
    Combien d'hommes a-t-elle tuée pour avoir quasiment, complètement rasée toutes ses forets ? Ce poumon naturel qui nous permet de respirer.
    On prend possession de ce qui ne nous appartient pas et nous le détruisons.
    Dans mes yeux d'adolescente, je vois, ou plutôt, j'aperçois cette fin inéducable. Que ce soit, aujourd'hui, demain, dans dix ans ou plus, nous mourrons tous. Alors je me dit: Pourquoi rester ici à regarder tant de merveille se faire détruire par notre main.
    J'ai honte d'être ce que je suis, d'être une humaines. Les chiens, les ours, les requins, les poulets, ne font rien de tel eux!
    Nous nous sommes attribué le titre d'espèce supérieure alors que la plupart d'entre nous ne valent rien.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Je me lève doucement, regardant les dernières braises d'un feu qui s'éteint et que je rejoindrais bientôt.
    De longues heures sont passées. M'avançant vers l'étendue d'eau, je me dit:
    «  S'il faut mourir un jour alors ce sera de aujourd'hui.
    Je n'ai pas envie de vivre dans un monde de violence.
    Je n'ai pas non plus envie d'avoir peur que l'on me viole, ou que l'on m'enlève dès que je sort de chez moi.
    Je n'ai pas envie de mourir sous le coup d'une arme à feu ou blanche, pour avoir dit un mot ou fait un regard de travers à mon voisin.
    Ni même sous une bombe alors que je n'ai rien fait, simplement parce qu'une poignée d'hommes ont décidés de déclarer la guerre, pour du pétrole, pour une religion ou des idées différentes ou même pour une couleur de peau.
    Ni dans des attentas comme le W.T.C où pour garder le pouvoir et se faire aimer des hommes éliminent leur concitoyens. Des femmes, des enfants, et des innocents, utilisant comme prétexte une prétendue attaque terroriste pour faire gober leurs mensonges au gens. »


    Je n'ai pas non plus envie d'attendre le jour où la nature décideras de nous chasser de ses terres, que ce soit par la force du vent, de l'eau, de la terre, du feu ou de ce néant au dessus de moi.
    C'est pour cela que aujourd'hui face au soleil levant je me plonge dans l'eau.
    Oui! Ce sera elle qui m'emportera, mais, c'est mon choix.
    Au fond de moi toute gène, toute honte disparaît de moi car je sais que je ne serais jamais de ces gens là



    Vers la plage centrale 

     

     


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  • Je tien a prévenir avant que ici je raconte un rêve que je fait souvent, et qui est violent au niveau physique et peu etre moral. Je tue dedans des personnes. 

     *bgsound src='http://seriedragonball.free.fr-RADIO.BLOG'*

     Je descend les escaliers qui mènent à la cuisine où nous mangeons.

    Comme d'habitude elles ont déjà commencés, je m'assoit et ne fait aucune remarque.

    La discussion commence déjà à devenir venimeuse mais je ne dit rien et me contente de manger mon poisson et mes légumes. Je n'entend que des bribes de paroles floues mais certaines sont très distinctes, elle sont en train de me descendre, de m'insulter, et l'une d'entre elle me fait monter en rage folle, c'est ma "mère" qui l'a dit, en me désignant, à mes soeurs: "De toute manière c'est de sa faute s'il est partie de la maison."

    D'un geste rapide je prend l'assiette qui est devant moi et lui lance à la figure. Au dehors une tempête aussi forte que ma rage, ma colère et ma souffrance se lève. Les portes et fenêtres s'ouvrent laissant entré le vent et la pluie. Je ne prononce pas un mot, pendant, que suite a mon geste elles me crient que je suis folle et complètement cinglée. Je rit, un rire de démente et même quand je ferme la bouche le rire continue en fond sonore, avec certaine paroles de la chanson Througless d'Evanescence.

    All of my hate cannot be found

    And you can try to tear me down

    ....Why are you trying to make fun of me ?

    You think it's funny ?

    What the fuck you think it's doing to me ?

    Je m'avance alors lentement et me baisse pour ramasser un bout de l'assiette qui s'est cassée. Je m'approche de celle a qui elle était destinée et la plaque violemment contre le mur fait de pierres, elle se débat mais des sangles ressemblant a des boyaux sortent du mur et attrapent ses bras, je brandit en l'air et rabat plusieurs fois de suite le morceau d'assiette qui vient la frapper au ventre puis au torse. Mes soeurs derrière essayent d'avancer et de m'arrêter mais n'arrive pas à bouger. Je regarde le sang couler sur mon bras et me met à vomir de dégoût dans l'eau de pluie, qui commence à inonder la maison et qui nous arrive au cheville. Puis je me relève et dans un dernier geste le morceau que je tenait se transforme en un bâton large de 5 centimètres de diamètre que je lui enfonce dans le front. Je me remet à rire en entendant les cris de celles qui sont derrière moi.

    Beat me to the ground

    I will see you screaming

    Je me retourne d'ailleurs vers elles, je commence a m'avancer, mais soudain un torrent d'eau arrive dans la pièce nous arrivant maintenant a mi cuisse. Elle essayent de fuir par les fenêtres et par les portes ouverte mais des grilles de métal bloque les issues. Mon aînée de un ans s'avance vers moi et prend une bouteille de verre au passage. Arrivée à ma hauteur, elle me frappe avec de toute ses forces cassant la bouteille sur ma figure me déchirant le visage, je sent le sang couler et je rit. Suite à ce rire dénuer de pitié et de souffrance je lui dit de continuer, que je sait qu'elle en meurt d'envie, qu'elle veut cela depuis longtemps. Et elle continue me frappant le corps de plus en plus fort avec la bouteille, mon torse dont la peu est facilement atteignable vue que je ne porte qu'un corset et mon visage. Je suis couverte de sang et je vois derrière elle mon autre soeur aînée qui cris et qui essaye de casser les grilles de fer. Elle hurle et me demande pitié pendant que l'autre continue inlassablement de me frapper avec ses poings maintenant qu'elle a lâchée la bouteille. je lui attrape le poignée et lui tord en arrière dans un craquement sinistre, et là c'est a son tour de me demander pitié.

    Pushing all the mercy down, down, down

    I wanna see you try to take a swing at me

    Come on, gonna put you on the ground, ground, ground

    Je l'oblige a se baisser et lui décroche un coup de genoux dans la mâchoire. L'autre laisse sa grille et coure dans l'eau pour venir l'aider et m'arrêter mais du ciment sous l'eau fait son apparition et la bloque. Je ramasse le morceau de bouteille, dont elle ses servit pour me mettre en sang, et lui enfonce au niveau, a elle aussi du ventre la faisant tourner plusieurs fois sur elle, tout en la remontant et la descendant plusieurs fois. Elle s'écarte et tombe en arrière le cul a la renverse de même pour l'autre dont le ciment a disparue.

     

    I want you crying with your dirty ass in front of me

    All of my hate cannot be found

    I will not be drowned by your thoughtless scheming

    And you can try to tear me down

    Beat me to the ground

    I will see you screaming

    Je m'approche d'elles et les frappent tour à tour avec une chaise en plastique, la même que j'avais cassée dans la réalité. Relevant celle que j'avais amoché, avec le morceau de verre, je la plaque et l'allonge contre la table. M'asseyant au dessus d'elle, levant mes doigts les faisant jouer devant ses yeux et d'un coup sec je lui tranche le gorge avec mes ongles. Je descend doucement et me tourne vers la dernière, lui scandant que c'est sont tour. Elle m'insulte me rabaisse comme tans de fois. Cette fois ci c'est moi qui hurle; à tel point que les objet de verre, resté mystérieusement debout malgré la tempête, se brise en morceaux. Je lui prend la tête et la frappe durement contre mon genoux, une fois, et contre le coin de la table, une autre. Puis lui enfonce sous l'eau, son corps s'agite quelques secondes avant de devenir inerte. Je le repousse dans l'eau, qui a à présent la couleur du sang. Plus un bruit, plus de cris ni de musique en fond.

    Ma respiration est rauque. je réfléchie et regarde les corps, l'un a mes pied avec du sang qui coule de son front, l'autre allongé sur la table la gorge tranchée et le torse ouvert et le dernier accroché avec des boyaux au mur avec plein de cicatrices, aussi, sur le torse et un bâton de fer dans le front.

    J'attrape mon portable et téléphone à la personne qui manque, Lui.

    "Tu peux venir à la maison.

    -C?! Qu'est ce qui se passe?

    -Tu peux venir à la maison.

    -Euh... Oui... J'arrive dans 10 minutes, je suis à Provins.

    -Bien." Je raccroche et la chanson, dont certaines paroles venaient d'être dites, se met a tonner, cette fois ci avec la musique et dans ma tête les paroles sont claires, comme si qu'elles étaient en français.

    All of my hate cannot be found [Toute ma haine ne peut pas être exprimée

    I will not be drowned by your thoughtless scheming [ Je ne serai pas enterré par votre complot irréfléchi

    And you can try to tear me down[ Et vous pouvez essayer de me déchirer

    Beat me to the ground[ Me mettre à terre

    I will see you screaming( Je vous verrai crier

    Come and fill the pages of my fantasies[ Venez et remplissez les pages de mes fantasmes

    Pushing all the mercy down, down, down[ Poussant toute la pitié vers le bas, bas, bas

    I wanna see you try to take a swing at me [Je veux vous voir essayer de me frapper

    Come on, gonna put you on the ground, ground, ground[ Allez-y, je vais vous mettre à terre, terre, terre

    Why are you trying to make fun of me ?[ Pourquoi vous essayez de vous moquez de moi ?

    You think it's funny ?[ Vous pensez que c'est drôle ?

    What the fuck you think it's doing to me ?[ Putain qu'est-ce que vous croyez que ça me fait ?

    You take your turn lashing out at me [Vous prennez votre tour en fouettant mon corps

    I want you crying with your dirty ass in front of me[Je vous veux pleurant avec vos sales cul devant moi

    All of my hate cannot be found[toute ma haine ne peut pas être exprimée

    I will not be drowned by your thoughtless scheming[Je ne serai pas enterré par votre complot irréfléchi

    And you can try to tear me down[Et vous pouvez essayer de me déchirer

    Beat me to the ground[Me mettre à terre

    I will see you screaming(Je vous verrai crier

    Come and fill the pages of my fantasies[Venez et remplissez les pages de mes fantasmes

    I'm above you, smiling at you, drown, drown, drown [Je suis au dessus de vous, vous souriant, noyez-vous, noyez-vous, noyez-vous

    I wanna kill and rape you the way you raped me[Je veux vous tuer et vous violer comme vous m'avez violé

    And I'll pull the trigger(Et j'appuierai sur la gachette

    And you're down, down, down[Et vous êtes morts, morts, morts

    Why are you trying to make fun of me ?[Pourquoi vous essayez de vous moquez de moi ?

    You think it's funny ?[Vous pensez que c'est drôle ?

    What the fuck you think it's doing to me ?[Putain qu'est-ce que vous croyez que ça me fait ?

    You take your turn lashing out at me[Vous prennez votre tour en fouettant mon corps

    I want you crying with your dirty ass in front of me[Je vous veux pleurant avec vos sales cul devant moi

    All of my hate cannot be found[Toute ma haine ne peut pas être exprimée

    I will not be drowned by your thoughtless scheming[Je ne serai pas enterré par votre complot irréfléchi

    And you can try to tear me down(Et vous pouvez essayer de me déchirer

    Beat me to the ground[Me mettre à terre

    I will see you screaming[Je vous verrai crier

    All my friends are gone, they died(Tous mes amis sont partis, ils sont morts

    They all screamed, and cried[Ils ont tous crié, puis pleuré

    Gonna take you down[Je vais te descendre

    All of my hate cannot be found[Toute ma haine ne peut pas être exprimée

    I will not be drowned by your thoughtless scheming[Je ne serai pas enterré par votre complot irréfléchi

    And you can try to tear me down[Et vous pouvez essayer de me déchirer

    Beat me to the ground[Me mettre à terre

    I will see you screaming[Je vous verrai crier

    All of my hate cannot be found[Toute ma haine ne peut pas être exprimée

    I will not be drowned by your thoughtless scheming[Je ne serai pas enterré par votre complot irréfléchi

    And you can try to tear me down[Et vous pouvez essayer de me déchirer

    Beat me to the ground[Me mettre à terre

    I will see you screaming[Je vous verrai crier

    Et pendant toute la chanson, je danse comme une démente, chantant dessus. Je sort aussi une bouteille de white sprit, d'alcool à90° et j'aligne 6 couteaux sur le comptoir. Et la chanson tourne en boucle et je l'entend entrer, il hurle mon prénom pour couvrir la musique et moi je l'attend dans la cuisine sur le comptoir, une de mes jambe relevé et l'autre posé à plat. Sur celle qui est relevé un de mes coude est posé et ma main tien l'un des couteaux qui joue entre mes dents. Je l'attend. Il arrive dans la pièce et hurle en voyant le spectacle. Je siffle il se tourne vers moi, articule des mots qui sont couvert par la musique.

    Toujours dans la même position je lève le bras et lance le premier couteau dans une de ses mains, il se retrouve projeté contre le mur, le couteau enfoncé dedans. Levant l'autre main en guise de protection je refait le même geste, la lame se plante a son tour dans le mur. En le regardant on dirait le christ et cela me fait rire. Un autre couteau dans ma main, je lui lance cette fois ci au niveau de ses parties génitale. La musique couvre tout les son qui sortent de sa bouche. Les trois derniers, rejoignent les autre se plantant un peu partout dans son corps.

    Je saute du comptoir et atterrie gracieusement sur le sol. J'attrape au passage le bidon de White et lui verse sur le corps. Celle d'alcool à90° apparaît dans ma main 'et je lui fait boire, entière. Je m'écarte et prend dans la bouche, de ma soeur sur la table, un verre de whisky qui est apparue de je ne sais où. J'allume une allumette et lui lance. Il s'enflamme et moi je boit tranquillement. Au bout de quelques secondes, je balance dédaigneusement, mon verre dans le feu le regardant se consumer et une fois que les flammes ont commencés à faire flamber la maison, je sort par l'une des fenêtre dont la grille s'ouvre devant moi et je marche le long de la rue, les flammes éclairants mon chemin et je ferme les yeux.

     Et la je les ouvrent dans un sursaut, je suis dans ma chambre, un peu de sueur colle ma peau, j'ai aussi des marques rouges comme si j'avais lutter, mais , le plus étrange c'est ce sourire au coin de mes lèvres qui ne me quitte pas.


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